Des auteurs définissent le mobilier urbain ainsi : « Ensemble des objets ou dispositifs publics ou privés installés dans l’espace public et liés à une fonction ou à un service offert par la collectivité ».
Il peut donc aussi bien s’agir :
- de mobilier de repos (banc, banc public, banquette, siège, table),
- d’objets contribuant à la propreté de la ville (poubelles, corbeilles, sanitaires publics),
- de boites aux lettres publiques,
- d’équipements d’éclairage public (réverbère, candélabres),
- de matériels d’information et de communication (kiosques à journaux, mâts et colonnes porte-affiches, colonnes Morris, plaques de rues, affichage d’informations municipales ou culturelles, tables d’orientation, cabines téléphoniques),
- de jeux pour enfants,
- d’équipement pour les sports urbains (panneaux de basket, buts, Street workout)
- d’objets utiles à la circulation des véhicules ou à la limitation de celle-ci (potelets, barrières, bornes, horodateurs, range-vélos),
- de grilles, tuteurs et corsets d’arbres, de bacs à fleurs,
- de barrières de police (dites « barrières de foule ») notamment destinées à soutenir les plans vigipirate,
- de points d’eau (fontaine Wallace),
- braseros
- d’édicules d’accès aux stations de métro,
- d’aubettes : des abris destinés aux usagers des transports en commun.