Des auteurs définissent le mobilier urbain ainsi : « Ensemble des objets ou dispositifs publics ou privés installés dans l’espace public et liés à une fonction ou à un service offert par la collectivité ».

Il peut donc aussi bien s’agir :

1. de mobilier de repos (banc, banc public, banquette, siège, table),
2. d’objets contribuant à la propreté de la ville (poubelles, corbeilles, sanitaires publics),
3. de boites aux lettres publiques,
4. d’équipements d’éclairage public (réverbère, candélabres),
5. de matériels d’information et de communication (kiosques à journaux, mâts et colonnes porte-affiches, colonnes Morris, plaques de rues, affichage d’informations municipales ou culturelles, tables d’orientation, cabines téléphoniques),
6. de jeux pour enfants,
7. d’équipement pour les sports urbains (panneaux de basket, buts, Street workout)
8. d’objets utiles à la circulation des véhicules ou à la limitation de celle-ci (potelets, barrières, bornes, horodateurs, range-vélos),
9. de grilles, tuteurs et corsets d’arbres, de bacs à fleurs,
10. de barrières de police (dites « barrières de foule ») notamment destinées à soutenir les plans vigipirate,
11. de points d’eau (fontaine Wallace),
12. braseros
13. d’édicules d’accès aux stations de métro,
14. d’aubettes : des abris destinés aux usagers des transports en commun.

L’objectif du mobilier urbain 

L’objectif principal du mobilier urbain est d’améliorer le confort, la sécurité et l’esthétique de l’espace public. Il contribue également à promouvoir la convivialité, l’accessibilité et la durabilité des environnements urbains en répondant aux besoins des résidents, des travailleurs et des visiteurs de la ville.

Par exemple : Créer des espaces publics plus sûrs et plus inclusifs : le monde regorge d’exemples de villes qui ont réussi à transformer des lieux en proie à l’insécurité, à la violence et à la criminalité en espaces inclusifs, sûrs et agréables.